C'était mon oncle enfin en version DYSCOOL Un soir, à la suite d'un coup de téléphone du commissariat central, Noé Petit apprend la mort d'un certain Armand Petit, dont on lui dit qu'il est son oncle. Le père de Noé lui parle alors pour la première fois de ce frère aîné dont il a été très proche, mais qui vivait depuis quinze ans comme un clochard. Epris " de liberté, d'aventures et de prochains départs ", toujours " ailleurs " où qu'il soit, Armand survivait grâce à la poésie. En se laissant porter à son tour par les poètes qu'il aimait, Noé va tenter de comprendre cet homme à la dérive qui répétait, comme pour s'en convaincre : Un jour, il y aura autre chose que le jour. (Boris Vian).